Coupler les détecteurs de force, dont sont habituellement dotés les robots, à des capteurs thermiques actifs pour améliorer leur sens du toucher et les aider à mieux identifier les objets qui les entourent. C’est l’idée développée par des chercheurs du Georgia Tech, situé à Atlanta (Etats-Unis).
Lorsque nous touchons un objet, nous le sentons plus chaud ou plus froid qu’il ne l’est réellement. Deux facteurs expliquent ce décalage. Le premier repose sur le fait que notre corps est chaud. Nous ressentons donc la différence de température entre notre peau et l’objet. Ensuite, nous mesurons également la vitesse à laquelle l’objet absorbe la chaleur de notre corps. Autrement dit, nous mesurons la conductivité thermique de l’objet en question. Ainsi, si un objet en métal nous semble plus froid qu’un objet en bois, alors qu’ils sont tous les deux à la même température, c’est que le métal[…]
Pour lire la totalité de cet article, ABONNEZ-VOUS
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?