
Dans une étude publiée le 6 mars dans la revue Nature Communication, une équipe de chercheurs allemands, suisses, russes et français emmenés par Jean-Marie Tarascon, directeur du Réseau sur le stockage électrochimique de l’énergie (RS2E), décrivent une nouvelle phase dans la structure du matériau qui compose la cathode des batteries lithium-ion à base de nickel, manganèse, cobalt (NMC) et enrichies en lithium (Li-rich NMC).
Pour mettre en évidence cette nouvelle phase, ils ont observé les mécanismes d’évolution structurelle au cœur d’une électrode Li-rich NMC soumise à des conditions d’oxydation et de réduction plus sévères que d’habitude : une tension de 4,8 V à l’oxydation (contre 4,5 V généralement) et de 1,2 V à la réduction (contre 1 V généralement). Sa formation, à l'intérieur du cristal, se produit lors de la charge,[…]
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