Une batterie à flux « organique » a été conçue par des chercheurs de Harvard. Décrite dans un article de Nature, elle repose sur les propriétés électrochimiques de petites molécules organiques appelées quinones et pourrait s'avérer trois fois moins onéreuse que son équivalent au vanadium, tout en étant plus performante en termes de charge/décharge.
Les batteries à flux stockent l’électricité et la génèrent par réaction d’oxydoréduction. Une membrane échangeuse de protons permet l’échange de protons entre deux compartiments anodiques et cathodiques où les solutions électrolytiques sont susceptibles d’être réduites et oxydées. Les batteries à flux présentent l’avantage d’avoir une capacité augmentable à volonté, simplement en utilisant des[…]
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