Inventé par l'Institut Georgia Tech, ce nanocapteur s'autoalimente en énergie quand il est soumis à des contraintes mécaniques. Grâce à des nano-générateurs d'électricité, composés chacun de 20 000 nanofils d'oxyde de zinc, il peut générer 1,2 V. Suffisant, par exemple, pour mesurer le pH d'un liquide ou détecter la présence de lumière ultraviolette.
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