
Aux meilleurs, on ne passe rien. Toyota –le père de l’organisation industrielle moderne (le lean manufacturing)- vient d’en faire les frais puisqu’il voit étaler au grand jour ses malheurs de service après-vente que d’autres marques –plus chanceuses et bien moins exemplaires en termes de qualité- font passer comme une lettre à la poste.
Pour l’opinion, ces rappels pour des pédales défectueuses font l’effet d’un choc, elles interviennent comme le révélateur d’une mondialisation et d’une standardisation de plus en plus poussée. Pour ma part, je retiens trois leçons de cette crise que traverse le géant japonais. .../...
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