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À l’approche d’un éventuel durcissement des mesures sanitaires, vous êtes nombreux cette semaine à avoir consulté nos articles sur l’épidémie de covid-19. Notre article sur les techniques pouvant être mises en place pour détecter les variants sur le territoire vous a intéressé. Tout comme l’ouverture des données du réseau Obépine, mesurant l’évolution des traces du virus dans les eaux usées. Enfin, notre entretien avec Bruno Pitard, directeur de recherche CNRS, sur l’efficacité de la seconde dose des vaccins à acides nucléiques, a également retenu votre attention.
Les pistes pour mesurer la dissémination des variants sur le territoire
La question du suivi des variants du SARS-CoV-2 dans l’Hexagone est aujourd’hui cruciale pour pouvoir contenir leur dissémination. Si le séquençage du virus reste la méthode la plus efficace, elle est à court terme hors de portée de la France et ne peut assurer une surveillance exhaustive. Cependant des techniques de RT-PCR peuvent être mises en œuvre pour détecter ces mutations.
Obépine ouvre une partie de ses données
Le réseau Obépine (observatoire épidémiologique dans les eaux usées) a mis en ligne lundi 25 janvier les indicateurs montrant l’évolution des concentrations du génome du SARS-CoV-2 dans les eaux usées d’une trentaine de villes. De quoi avoir une vision inédite de la circulation du virus au moyen d’un indicateur macroépidémiologique qui évite de nombreux biais dans l’évaluation de l’épidémie.
La seconde dose de vaccin pour une efficacité maximale
Après quelques tergiversations, le gouvernement français est finalement revenu sur sa décision de différer l’administration de la seconde dose de vaccin. Une excellente nouvelle, car comme nous l’indiquait Bruno Pitard, directeur de recherche CNRS au centre de cancérologie et d’immunologie de Nantes-Angers (CRCINA), c’est avec cette deuxième dose que les vaccins à acides nucléiques atteignent leur pleine efficacité.
Armor participe au développement des batteries sodium-ion
Depuis quelques années, Armor collabore avec la startup californienne NATRON, pionnière des batteries sodium-ion, en mettant au point des collecteurs de courant. Un partenariat fructueux comme nous l’indique Thierry Dagron, directeur du développement des affaires chez Armor Films for Batteries.