IBM s'est en effet aperçu que ses algorithmes, initialement mis au point pour identifier des séquences d'acides aminés et des fragments d'ADN, pouvaient être modifiés pour être appliqués à des chaînes de caractères. L'algorithme identifie alors des motifs qui correspondent sans ambiguïté à des spams. Selon le New Scientist, qui rapporte cette information, l'algorithme détecterait 97 % des spams. IBM envisage de l'inclure à sa suite SpamGuru.
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