L'étalon de platine iridié définissant le kilogramme ne sera bientôt plus qu'une curiosité de musée. Le Laboratoire national de physique britannique (NPL) a présenté, dans la revue Metrologia, une technologie améliorant la précision de la mesure de la constante de Planck, pièce manquante à une nouvelle définition voulue par la Conférence générale des poids et mesures. L'unité de masse deviendrait ainsi basée sur les constantes fondamentales de la nature et non plus sur un objet fabriqué de la main de l'homme.
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