
Schéma illustrant la cavitation (implosion) d’une bulle de gaz (vapeur) à proximité d’un revêtement nanoparticulaire, et l’arrachement (éjection) de nanoparticules qui en résulte.
© crédit : CNRS
Une étude réalisée par des chercheurs de l’Institut de science des matériaux de Mulhouse - IS2M (CNRS / UHA) a montré que plus les nanoparticules sont petites, plus elles s’assemblent facilement entre elles. L’originalité de leur travail, publié dans la revue Nanoletters, tient au fait qu’ils ont utilisé le test de cavitation ultrasonore.
Les chercheurs ont voulu déterminer l’effet de la taille des nanoparticules sur la cohésion d'un revêtement nanoparticulaire. La détermination des propriétés d’adhésion et de cohésion des revêtements est nécessaire pour pouvoir bénéficier de leurs propriétés fonctionnelles mais ceux-ci sont fragiles et poreux. Aussi les chercheurs sont-ils allés chercher une technique plus couramment appliquée à des matériaux massiques : le test de cavitation ultrasonore. Dans un liquide soumis à des ondes[…]
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