Les microsupercondensateurs constitueraient une réponse pertinente aux besoins énergétiques croissants de l'électronique nomade. En partenariat avec les universités de Drexel (États-Unis) et de Toulouse 3, des chercheurs du CNRS ont intégré à une puce en silicium des nanocouches de carbone actif superposées, qui augmentent la vitesse des échanges ioniques. Ce microsupercondensateur de la taille d'un ongle allie une puissance énergétique 4 000 fois plus élevée que celle des batteries miniaturisées classiques, à une capacité de stockage importante. Son autonomie devient, par cette avancée, adaptée à des applications commerciales.
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