Ses chercheurs, membres d'une équipe internationale, ont détecté autour de Venus une couche de dioxyde de soufre (SO2). En l'étudiant, le CNRS espère comprendre les conséquences qu'aurait une injection de SO2 dans l'atmosphère terrestre. En cas d'insupportable réchauffement climatique, cette opération contrebalancerait l'effet de serre... et rafraîchirait le globe.
vous lisez un article d'Industries & Technologies N°0928
Découvrir les articles de ce numéro Consultez les archives 2010 d'Industries & Technologies