
GeoEyes fournit gratuitement toutes les heures des images satellites des zones dévastées utiles aux sauveteurs et aux expatriés.
© DR
Les réseaux téléphoniques fixes et GSM ont rendu l’âme, mais Internet fonctionne toujours et les premières communications sont passées à travers Skype. De même, les sauveteurs amènent dans leurs bagages de véritables réseaux de communication numérique fonctionnant via satellite. Des organisations humanitaires mettent en place des logiciels de recherche d’informations sur les personnes portées disparues. Même Google met en place une page spéciale pour recueillir les dons.
Enfin, GeoEyes collabore avec Google Earth pour fournir gratuitement toutes les heures des images précises des zones dévastées pour mesurer l’ampleur des dégâts et permettre aux expatriés de voir l’avancement des opérations de sauvetage.
Retrouvez dans nos articles quelques exemples qui montrent comment la planète numérique vient au secours des plus démunis.
Jean-François Prevéraud