Le centre de recherche en micro-électronique belge Imec a mis au point un process de dépôt de couches minces par pulvérisation de solutions à nanoparticules, qui peut servir à réaliser aussi bien la couche active d'une cellule solaire organique que les contacts électriques. Les cellules solaires souples obtenues présentent un rendement de conversion de 3 %. L'Imec ambitionne d'atteindre un rendement de conversion de 10 % d'ici à 2012. Le process vise la fabrication de cellules de grande dimension dans une ligne de production automatisée. Il est rapide et peu coûteux.
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