
L’exercice 2009-2010 n’a pas été des plus fructueux en termes de chiffre d’affaires généré par les contrats de recherche, mettant un terme à une croissance continue depuis 15 ans.
Mines ParisTech garde sa suprématie sur ce critère cette année encore, avec 30 millions d’euros glanés par ses contrats de recherche. Derrière, il y a du grabuge : les deux instituts toulousains, l’INP Toulouse et l’Isae, avec 28 % de croissance chacun, viennent se placer respectivement deuxième et troisième. Ils chassent du podium l’Insa de Lyon et Grenoble INP.