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Des innovations dans les domaines de l’agriculture, l’agroalimentaire, l’environnement et la chimie verte devraient découler du partenariat qui a été signé le 19 janvier entre l’Institut national pour la recherche agronomique (Inra) et Cellectis.
C’est en tous cas ce qu’espèrent les membres de l’organisme de recherche et de la société spécialiste du développement et de la production de méganucléases, des protéines capables de couper l’ADN en un lieu précis, permettant d’envisager sa ''réparation'' avec une molécule d’ADN fabriquée pour l’occasion. Un processus qui autorise l’insertion, la suppression ou la correction d’une séquence codante donnée, ouvrant la porte à une véritable ingénierie des génomes.
Dédié à l'acquisition de connaissances fondamentales, la mise au point d'innovations technologiques et leur transfert technologique vers les entreprises, en particulier les PME-PMI, le partenariat conclu entre l’Inra et Cellectis doit permettre de mener des travaux sur toutes les espèces vivantes, hormis l’espèce humaine.
Muriel de Véricourt
Pour en savoir plus : http://www.cellectis.com