Sur les 5 000 brevets français déposés l'an passé, l'Inpi et l'Ademe ont recensé 37 % d'éco-innovations. Mais ce sceau écolo est apposé sans modération sur la seule foi d'une réduction potentielle des émissions de CO2. Résultat : un tiers des « brevets verts » dans l'énergie portent sur le nucléaire et, dans le transport, 80 % concerne la maîtrise de la consommation des automobiles. Exit les critères liés à la pollution, aux déchets, aux ressources naturelles...
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