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Gesticulations et effets de manche auront duré toute la semaine. Pour, au final, se solder par de bien faibles avancées. La polémique, « l'Affaire Renault » comme la nomme certains éditorialistes, a finalement débouché sur de bien piètres concessions au sortir du week-end. De la controverse née de la volonté du constructeur français de confier à son site turc la production de sa Clio quatrième génération, Carlos Ghosn, le président de la marque au losange, s'en sera sorti au prix d'engagements bien vagues... en concédant que la Clio IV serait aussi produite sur le site de Flins, sans préciser quelle sera l'ampleur de la production.
Gesticulations et effets de manche auront duré toute la semaine. Pour, au final, se solder par de bien faibles avancées. La polémique, « l'Affaire Renault » comme la nomme certains éditorialistes, a finalement débouché sur de bien piètres concessions au sortir du week-end. De la controverse née de la volonté du constructeur français de confier à son site turc la production de sa Clio quatrième génération, Carlos Ghosn, le président de la marque au losange, s'en sera sorti au prix d'engagements bien vagues... en concédant que la Clio IV serait aussi produite sur le site de Flins, sans préciser quelle sera l'ampleur de la production.
Cette agitation médiatique -si elle a le mérite de placer l'industrie au cœur des débats- masque aussi les failles cachées de l'appareil industriel français. Le constat est peut être dur mais véridique : les usines françaises de nos deux constructeurs nationaux sont déclassées.